Les grandes maisons d'Editions ne choisissent que quelques élus sur des milliers de manuscrit . Dans ces conditions, il est difficile d'exister pour un auteur indépendant.
Cependant, d'autres alternatives s'offrent à nous, comme l'autoédition sur des plateformes dédiées (version électronique et version papier) ou les maisons d'éditions participatives). Le choix est cornélien. Les avantages des plateformes dédiées offrent une mise en ligne et une visibilité dans le monde francophone très rapidement. Les frais sont contenus , et vous permet de gérer toutes les étapes de la publication. En revanche, certaines plateformes demandent exclusivité de la distribution.
Quant aux maisons d'éditions participatives, Les coûts sont partagés entre l'éditeur et l'auteur. L'investissement financier est plus important, mais ils ont l'expertise littéraire, des réseaux et des distributeurs. Cette alternative permet d'être imprimer dans une maison édition, et d'être distribuer en librairie.
Dans ma vision des choses, 2 choix s'offre à moi :
Choisir l'auto-édition sur les plateformes dédiées (version digitale et papier) pour sa visibilité et sa rapidité à mettre en ligne, avec un risque d'une clause d'exclusivité
Choisir les maisons d'éditions participatives demande un investissement financiers plus important, mais à terme, notre ouvrage est publié chez un éditeur qui a ses réseaux de distribution dédiés.
Pour l'instant, je m'interroge encore sur ma politique éditorial. Qu'en pensez-vous ?
Edit du 14/05/2024
Je continu mon introspection. Pourquoi, j'ai décidé de choisir l’auto-édition pour la publication de mes ouvrages ? Devant les milliers de manuscrits qui sont envoyés aux maisons d'éditions traditionnelles, seulement quelques-uns sont repérés. Cette voie est fortement bouchée. De plus, les maisons d'éditions vous répondent dans les six mois à partir du dépôt du manuscrit. Il me reste que l'autoédition pour m'exprimer. L'autoédition n'est pas une insulte. Les légendes urbaines nous racontent que les auto-édités, sont des refoulés de l'édition traditionnelle, et la valeur de leurs écrits, sans comité de lecture, ne vaut pas tripette. Il n'en est rien. Mais pour que la valeur littéraire soit repérée, il faut publier. Ces dernières années avec les progrès en matière d'autoédition, et selon les bourses de chacun, la parole s'est démocratisé dans tous les domaines littéraires. Fini la surreprésentation des auteurs bankables. "Le progrès que vaut que s'il est partagé par tous" (Slogan Pub : SNCF). L'auto-édition est du militantisme.
Bien cordialement,
Kurt Deagan
댓글